Mes activités thérapeutiques

Dans cette section, vous trouverez mes différentes activités thérapeutiques. Ce sont aussi celles généralement proposées par les psychologues, avec abord neuropsychologique pour certaines interventions, ou approche clinique ou cognitivo-comportementale pour d’autres.

Thérapie individuelle ou groupe de parole, remédiation, psychoéducation, bilan psychologique… Qu’est-ce c’est ? N’hésitez pas à naviguer dans les différents chapitres de cette rubrique. J’espère que cela vous permettra d’en comprendre le déroulement et les bénéfices recherchés.

Voici toutefois le cadre général dans lequel s’inscrivent mes différentes activités thérapeutiques.

Mon cadre d’activité

Pour ma part, je m’occupe essentiellement d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes. De fait, mon matériel est principalement adapté à leurs problématiques. Les outils de tests coûtent effectivement très chers. Les supports pour les suivis sont par ailleurs long à développer. D’où le besoin d’une relative spécialisation !

Je précise que si mon activité est centrée auprès des jeunes, j’interviens aussi évidemment auprès des familles. Cela est bien entendu plus ou moins le cas suivant l’âge et les besoins.

Définition des objectifs du projet de soutien ou soin

Si parfois la demande émane d’un médecin ou autre professionnel, les besoins sont le plus souvent codéfinis lors de la ou les premières rencontres. Les activités thérapeutiques mis en œuvre sont donc élaborés avec le jeune, sa famille et le thérapeute. Évidemment, je ne rentre pas dans des détails techniques avec les plus petits, mais les grands axes et les attentes sont néanmoins précisés.

Le suivi n’est pas systématique. certaines situations ne nécessites qu’un petit nombre de séances. Si un accompagnement a lieu, il est plus flexible que ce que pourrait laisser imaginer les sections de ce chapitre. Par exemple, un jeune peut globalement avoir besoin de psychoéducation et de compensation, mais un travail sur l’estime de soi et la confiance en soi peut aussi être fait en parallèle. De même, un abord psychothérapeutique clinique peut parfois s’orienter au fil du temps vers un travail plus pragmatique, avec des objectifs concrets et des tâches assignées.

La durée et la fréquence

La fréquence du travail thérapeutique et sa durée sont très variables, et pas nécessairement liées à la sévérité des troubles. Des jeunes avec trouble majeur du neurodéveloppement induisant un important handicap peuvent bénéficier d’un suivi régulier, au même titre que certains jeunes adolescents ayant seulement besoin d’un lieu où se décharger.

Bref, dès lors que les jeunes sont assez matures, c’est notamment avec eux que l’on envisage la fréquence et la durée. En effet, il est essentiel que le jeune comprenne le sens du travail et y soit motivé. Mais, pour les petits ou avec des grands présentant des troubles importants, la conscience des difficultés ne permet pas toujours de fonctionner comme cela.

Prioriser les soutiens au regard des autres accompagnements

Enfin, dans la construction du projet de soin, il faut parfois définir des priorités. Imaginons que votre enfant ait déjà des séances d’orthophonie, d’ergothérapie et des consultations pédopsychiatriques… Il n’est pas certains qu’il soit productif d’y ajouter des séances auprès de moi !

Un jeune ne peut pas réaliser systématiquement toutes les prises en charge dont il pourrait tirer bénéfices, en lien avec la fatigabilité des enfants et leurs besoins de temps « off ». Dans les situations complexes, il est donc important de se reposer sur l’expertise d’un thérapeute ou d’un médecin. Il pourra vous aider à coordonner les suivis au fil de l’évolution du jeune.